lundi, décembre 26, 2016
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Critique
2045, New-York; Grâce à une pilule fournie par la MicroCorp, les humains sont devenus immortel. Mais qui dit immortalités dis également stérilités afin de ne pas surpeuplé la Terre et surtout lassitude dans la vie car finalement, quel est la finalité de la vie.
L 'inspecteur Liv Anderson , flic, femme, en a bien conscience et fait couler les jours au rythme de ces enquêtes. Ce matin pourtant, le meurtre d'un directeur de musée va l'emmener à enquêter sur une mystérieuse conspiration lié à cette fameuses pilule, qui remettrait bien en cause le fondement même de la société ou elle vit.
Cet épisodes, écrit en one-shot, fait partie d'une quadrilogie qui aura pour point commun l'univers d'anticipation, les androïdes et un scénariste commun J.L.Istin (mais pas les dessinateurs n'en déplaise aux plus puristes).
Ambiance néo-noire donc, cet épisode nous emmène dans une enquête policière qui vous rappellera par certains point l'univers de Philip K. Dick et notamment sont fameux Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques (aka Blade Runner au cinéma)
Visuellement on retrouve un bel univers graphique , avec ces propres codes , mais avec un trait inégale qui m'a personnellement gêné, notamment le travail à la palette graphique versus le dessin fait main, ainsi que le niveau de détails de certaines case qui parfois frôle soit l'overdose , soit la version light.
La partie narrative et le pitch sont très intéressantes, malheureusement amenés avec une certaine lourdeur qui aurait pu être plus rythmée. Il lui manque, à mon sens, cette petite tonalité qui aurait pu rendre le tout assez harmonieux pour emporter le lecteur dans cet histoire.
Au final un album qui ne m'a pas personnellement convaincue ni donné, hélas, l'envie de poursuivre l'aventure ce qui est super dommageable car c'est le premier volet de la série, c'est l'éclaireur.
N'oublions pas néanmoins que ce sont des one-shots faites par des équipes d'auteurs différentes et la qualité variera selon.
Pour conclure, un album ni bon ni mauvais , vraiment dans la médiane, et qui trouvera surement son public dans les fans de l'univers de Gibson, Dick , Asimov & cie ...
ANDROIDES - T1 - Résurrection
2045, New-York; Grâce à une pilule fournie par la MicroCorp, les humains sont devenus immortel. Mais qui dit immortalités dis également stérilités afin de ne pas surpeuplé la Terre et surtout lassitude dans la vie car finalement, quel est la finalité de la vie.
L 'inspecteur Liv Anderson , flic, femme, en a bien conscience et fait couler les jours au rythme de ces enquêtes. Ce matin pourtant, le meurtre d'un directeur de musée va l'emmener à enquêter sur une mystérieuse conspiration lié à cette fameuses pilule, qui remettrait bien en cause le fondement même de la société ou elle vit.
Cet épisodes, écrit en one-shot, fait partie d'une quadrilogie qui aura pour point commun l'univers d'anticipation, les androïdes et un scénariste commun J.L.Istin (mais pas les dessinateurs n'en déplaise aux plus puristes).
Ambiance néo-noire donc, cet épisode nous emmène dans une enquête policière qui vous rappellera par certains point l'univers de Philip K. Dick et notamment sont fameux Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques (aka Blade Runner au cinéma)
Visuellement on retrouve un bel univers graphique , avec ces propres codes , mais avec un trait inégale qui m'a personnellement gêné, notamment le travail à la palette graphique versus le dessin fait main, ainsi que le niveau de détails de certaines case qui parfois frôle soit l'overdose , soit la version light.
La partie narrative et le pitch sont très intéressantes, malheureusement amenés avec une certaine lourdeur qui aurait pu être plus rythmée. Il lui manque, à mon sens, cette petite tonalité qui aurait pu rendre le tout assez harmonieux pour emporter le lecteur dans cet histoire.
Au final un album qui ne m'a pas personnellement convaincue ni donné, hélas, l'envie de poursuivre l'aventure ce qui est super dommageable car c'est le premier volet de la série, c'est l'éclaireur.
N'oublions pas néanmoins que ce sont des one-shots faites par des équipes d'auteurs différentes et la qualité variera selon.
Pour conclure, un album ni bon ni mauvais , vraiment dans la médiane, et qui trouvera surement son public dans les fans de l'univers de Gibson, Dick , Asimov & cie ...
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