mardi, novembre 27, 2012

White Crows de Djief

novembre 27, 2012 Smith


A la sortie du 2e Opus de White Crows, je me suis dit que c’était l’occasion rêvée de relire le premier épisode édité en 2011 chez Soleil et de vous narrer le bien que j’en pense (ou le mal c’est selon).

Alors ni une , ni deux (ni trois) plongeons dans …

Primor; la planète-cité, cœur des différentes races interstellaires, vraie nation multiculturelle , mais planète où les humains sont vus comme la pire des gangrènes et dont la condition sociale humaine est résumée à des tâches secondaires amoindrissantes.

Le sergent Willis (reférence non-cachée à notre célèbre Inspecteur John McClane dans Die Hard) travaille pour l'unité tactique de la police; autant dire qu’il n’est pas forcément aimé de ses collègues car il est le seul humain au sein de son unité à avoir un poste à responsabilité sur cette planète. Willis est justement sur la brèche avec une enquête fort sensible à propos d’un trafic d’armes militaires commandité par un consortium mystérieux.


Et voilà qu’en plus sa fille Shelly qu’il n’avait plus vue depuis des années rapplique avec son robot domestique psychorigido-obsessivo-compulsilf … et ce sans compter que sa fille est l’unique survivante de la colonie Blue-Star où plus de deux millions d’habitants ont péri. Bref, il n’en demandait pas tant! Notre pauvre Sergent Willis, en plus de son enquête, va être obligé de recréer un semblant de cocon familial et si possible pour hier.

Mais au fait, la destruction de la colonie Blue-Star est-elle la cause des humains ? Et comment a-t-elle survécu ? Tout le monde a des secrets ...



Enquête, action, humour, complot politique sur fond de SF, course poursuite … voilà des ingrédients bien dosés et jaugés par Djief qui tente l’aventure aux trois postes (scénariste, coloriste et graphiste).

On peut clairement dire que ce virtuose de l’infographisme a réussi le challenge en nous proposant ici un Space Opéra des plus efficaces.

Rafraîchissant à souhait, c'est mon coup de cœur de la SF pour l'année 2012; GO!



Puntos de Experiencia de Josep Busquet et Pere Meran

novembre 27, 2012 Smith

Aujourd'hui, on causera Roleplay :)

Non! pas de Chippendales avec des manchettes en train de se trémousser sur les pistes de danses ou de bimbos aux jambes affriolantes mais on y est presque puisque cette fois-ci c'est d'une bande dessinée ibérique : « Points d'expérience » ou « Puntos de Experiencia » en VO de Josep Busquet et Pere Mejan, le tout emballé et édité par Dibbuks (96 pages en noir et blanc).

Alberto est un trentenaire venant juste de divorcé, loin de ces enfants et se retrouvant seul dans son nouvel appartement. Il décide un jour de reprendre contact avec ses amis d’enfance qu’il fréquentait pendant des parties de Jeux de Rôles(JdR); c’est à travers ces différentes rencontres qu’Alberto va se redécouvrir et redevenir lui-même.

Subtil mélange de nostalgie, amitié, rencontre, amour , les auteurs nous emmènent dans cette aventure. On suit le personnage principale de son passage de l’adolescence à l'âge adulte , le changement de mode de vie qui à son passage à la vie “active” et l'abandon d’un pan de lui-même (amis, jeux, comportement etc ..) ; et qui une fois que tout s’écroule, redevient lui-même et tombe le masque.

Impossible, en tant que lecteur, de ne pas revivre certaines scènes déjà vécues autour d’un JdR (gueulante avec le maître du jeu , décisions absurdes de joueurs, délires etc …); il y a tellement d’authenticité qu’on sent que les auteurs ont puisé dans leurs propres souvenirs.
Au-delà de l’aspect JdR qui en fait n’est qu’un prétexte pour le contexte, ici on a surtout une allégorie sur les amis qui, même si le temps les a séparés, restent et resteront toujours ami quels que soient ses propres défauts ou situations.

Grâce aux dialogues divinement menés de Josep Busquet et des dessins simples et semi-caricaturistes (ça existe ce mot?) de Pere Mejan , on se sent complètement emportés par ce récit. Comme quoi on n’a pas forcément besoin de couleur, d’un style graphisme “qui déchire sa race”, ou de long texte pour faire une bonne bd; ici le mélange est parfait.

Complètement jouissif, on dévore d’une traite ce récit qui, je l’espère sera traduit rapidement en français (d’ailleurs je veux bien le faire pour la peine^^ ). Perso j’ai tout simplement adoré.

On se donne rendez-vous au détour d'un labyrinthe ?

John Carter d'Andrade et Langridge

novembre 27, 2012 Smith
J'avais vu le film John Carter à sa sortie au cinéma et j'avoue que le monde visuel qui y était proposé m'avais emballé mais par contre je n’ai pas lu les romans imaginé en 1912 par Edgar Rice Burroughs; un jour peut-être quand j'aurai terminé la pléiades de livres qui s'accumule sur ma pauvre table de chevet ^^ Quoiqu'il en soit, vu que le dessinateur était présent le jour de l'achat de ce livre (le portuguesh Felipe Andrada) je me suis dis que c'était l'occasion de découvrir cette bande dessinée.

"Une princesse de Mars" de Roger Langridge et Felipe Andrade publié chez Panini Comics est à la base une mini-série qui sera regroupé dans l'ouvrage présenté sciemment dans cette prose narrative qui est actuellement en train de s'imprimer inconsciemment dans votre cervelet droit (ou gauche , si
si vous en avez un!)

L'histoire d'abord : Le capitaine John Carter, ex-soldat de Virginie (US), se retrouve mystérieusement sur Mars (Barsoom pour les habitants de cette planète). Dans ce monde totalement inconnu pour lui : découverte, lutte pour sa survie contre les féroces Tharks et emballer la princesse Dejah Thoris seront sont lot quotidien s'il veut un jour revenir sur Terre ... quoique s'il emballe la princesse c'est pas sûre qu'il aie envie de revenir (hormonalement parlant ^^)

Soyons franc, cette bd essaie d'expédier l'histoire originel dans une centaine de page graphique et malheureusement le scénariste Roger Langridge ne s'en sort pas du tout. Trop d'ellipse dans la lecture qui tue complètement le rythme du récit, narration compliquée, richesse de l’univers balancé à la n’importe-nawak , trop de survol empêche vraiment de rentrer dans cet univers.

L’aspect visuel quant à lui, offert par Filipe Andrade n'aide pas des masses. Pas qu'il dessine comme un pied ou un manche voire même les deux, que nenni c'est même super stylisé et je crois qu'il a du potentiel mais là dans ce livre c'est trop stylisé; avec des personnages un peu comme des gravures grecques, aux visages et corps élastique, des corps parfois disproportionné et surtout des cases vide de décors ... c'est dommage car j'ai vu certains de ces dessins et c'est pas un nain dans le dessin.

Vous l’aurez compris, j’ai été plus que déçu.

Pour conclure, ça a juste le mérite de peut-être vous motiver pour découvrir les romans ou le film. Un livre que je conseille uniquement au fan de la série et de l’auteur … sinon à éviter.

DragonCon 2012

novembre 27, 2012 Smith
Parce que ça fait également partie de l'univers de la bande dessinées ... Un Cosplay des plus épique ... le DragonCon 2012 avec des costumes on ne peut plus vraiment bien foutu ^^ Il y en a pour tous les gouts.




Khaz de Josep Busquet et Colombo

novembre 27, 2012 Smith

Il y a des histoires qui commence mal et qui finisse bien, un peu comme une bonne gastro où un truc du genre. Khaz c'est de la même trempe, on a peur en commençant la lecture parce qu'on est complètement désorienté , un peu comme si on naviguait sans vaseline, puis après ça passe avec le sourire.

Khaz, c'est quoi ? Avant tous c'est la première bande dessinée d'un nouvel éditeur ayant le doux nom de Styx Editions , une jeune boite d'édition Luxembourgeoise crée fin 2010 et qui se lance dans cette folle aventure et ça, il faut bien le dire (petit coup de pouce ^^). Ils éditent ici une bien belle bande dessinée qui je l'espère enchainera avec de prometteuse suite dans le genre.

Khaz, c'est pas juste une couverture souple avec un zoli dessin et de belle couleurs qui donne envies; non mais c'est surtout une histoire des milles et une nuits, un pan de la littérature arable si bien ancrée dans notre imaginaire collectif (faudra remercier un certain monsieur Galland pour ça).

Action!

Il était une fois un conte des milles et une nuits ... il était une fois un royaume lointain où sorciers , voleurs , djinn, chat qui parle et brigands se côtoient sans vergogne ... il était une fois un complot contre le sultan ... il était une fois une vengeance! (musique maestro siouplé)

Seul Khaz, le mystérieux brigand au mélange d'Eroll Flynn et Bruce Willis, pourra aller là ou nulle part ailleurs une autre personne pourra allez : chercher le remède qui sauvera le sultan, la princesse, le trésor et le sourire de la crémière ( pas forcément dans cet ordre ^^). C'est accompagné d'un djinn délicieusement truculent, une tribulation de brigand tout en couleur et de sa nièce que l'histoire va nous plonger dans ce conte.

Visuellement bien ficelé et construit , j'avoue avoir eu un peu de mal au début car on à deux histoires qui entremêlement en split-screen dans les pages (page 1 - histoire 1 , page 2 - histoire 2 et on recommence avec page 3 - histoire 1 ... pendant une pelletés de pages) ce qui fait qu'on a un peu le mal de mer; "no souci" ce n'est qu'histoire de bien camper les personnages et c'est par après qu'on verra la toile du scénario bien tissé ... mais cela peut déconcerter certains au début.

Un scénario bien solide (si si , c'est rare de nos jours) qui je l'espère ne s’arrêtera pas qu'au 2eme tomes car c'est un diptyque (houououououou les mauvais) . Et ce serait presque d'outrancier de ma part de ne pas mentionner le magnifique travail de couleur, simple et efficace de Mademoiselle Aintzane Landa qui franchement colle magnifiquement bien (les couleurs je parle ^^)

Une bande dessinée plus que bien torchée par des auteurs espagnols de surcroit et que je conseille of course.

Avec ou sans slip, je vous souhaite à tous un bonne lecture, amen ;)

S.A.M. par Marazano et Xiao Shang

novembre 27, 2012 Smith
Aujourd’hui je vais causer de la bande dessinée S.A.M. scénarisé par Richard Marazano et Xiao Shang au graphisme; le tout édité chez Dargaud en version papier mâchée et cartonnée svp. Alors let's go et “insert coin”.

La trame de l'histoire est on ne peut plus simple comme dans toutes le bonnes histoires raconté par l'oncle Paul ... quoique ... ce déroule dans un ville post-apocalyptique où visiblement il y a eu de la grosse "fight" entre on-ne-sait-pas-qui-ni-pourquoi ; en tous cas, le résultat est qu'il ne reste aucune trace de vie à part un petit groupe d'enfants qui survive péniblement au raid meurtrier de robots exterminateurs.

Lors d'une de leur expédition en dehors des égouts afin de rechercher de la nourriture, l'un d'entre eux, Yann, va être pourchassé par des robots tueurs et être sauvez par un robots étrange dont on peut lire sur sa carcasse métallique les lettres S.A.M.

Ambiance oppressantes, ville désolée, traques, etc ... tel sont les code repris dans ce scénario de Richard Marazano. Mélange de Terminator pour le coté « machine tueuse », Akira pour le monde dévasté et certaine scènes souterraines qui d'ailleurs rappelleront directement la BD éponyme, sans oublier le « sa majesté des clones » de JP Hubert, et le tout bien entendu saupoudré d'une petite histoire d'amour entre Yann et la jeune Ella ... les personnages et les dialogues sont bien construits et le tout se laisse lire. Cette histoire bien ficelée va vous emballée (ficelé, emballé ... bon je sort).

Pour la mise en image , Marazano c'est associé avec un artiste chinois Shang Xiao fort peu connu de nos contrées sauvage mais nullement dépourvu de talent le bougre. Il nous propose un graphisme qui est à la croisée du manga et du graphisme plus occidental (non non, n'ayez crainte , resté, ce n'est pas du Totally Spies); le tout est très très bien construit et il nous donne via son talent des scènes rythmées, il nous fait ressentir l'ambiance d'une ville morte voire même le bruit du métal en action.
Une mise en bouche très prenante. Petit bémol tout de même, je trouve qu'on peut percevoir que certaine case ont été faite par ordinateur, moi ça m'a un peut perturbé (si on peux encore être plus perturbé ... mais c'est un détail^^ )

Comme je suis un esprit assez cartésien (entre 9am et 10am essentiellement) j’ai l’habitude de lire au moins deux fois une BD afin de me refaire une lecture approfondie et plus critique, et éviter d'écrire uniquement en me basant sur le premier ressentit ; Bref ça me permet d’imaginer une suite éventuelle et laisser son imagination vagabonder, regarder le travaille du coloriste , de trouver aussi des défauts etc…

Tous cela pour dire qu'il y a des truc une panoplie de questions dans la BD qui vont peut-être ou pas s'éclaircir dans la suite alors hop, je vous expose certains truc qui mon turlupiner (du verbe piner) le cerveau :

Attention, p-e spoiler Inside :
  1. Si la fameuse guerre est apparue genre quand les enfants avaient trois à quatre ans, comment cela se fait qu'ils savent si bien parlé, autant de connaissance etc ... ?
  2. Pourquoi il y a eu la guerre ?
  3. Est-ce que les autres villes sont dans cet états aussi ? Les robots ne sont pas des robots nettoyeur pour préparer une invasion par exemple ?
  4. Ça veut dire quoi SAM ?
  5. Est-ce que Yann et Ella vont tomber amoureux ?
  6. Pourquoi le robot protège Yann?
  7. Avec ou sans sucre?
  8. Est-ce que je t'en poses des questions moi?
  9. Alors pourquoi S.A.M ? jeu-de-mot d'un illettré pour S&M? message d'un désespéré pour «Sort Avec ma Mère » ? On n'en sait faire que des suppositions et il faudra lire les 3 autres volumes qui sont prévus pour dans pas longtemps ; Une quadrilogie d'anticipation donc, assez alléchante à lire:)
J'espère que ça vous à plus et n'hésitez pas à compléter, corriger, gueuler, fouetter ce que je raconte.

Amis cinéphiles et bédéphiles , à très bientôt.

Superior de Mike Millar et Leinil Yu

novembre 27, 2012 Smith
Faire une petite critique sur un bande dessinée est une chose fort subjective puisqu’à l’instar d’un roman ou tout est basé sur l’écriture, dans une bande dessinée il faut aussi bien tenir compte du scénario que des dialogues, le dessins, les couleurs et même dans certains cas le type de papier utilisé c’est pour dire; bref c’est un tout indissociable un peu comme un tableau.

« Superior » nous raconte l’histoire du jeune Simon, un garçon de 12 ans comme tous les autres, sauf qu’il est atteint de sclérose en plaque. Depuis sa maladies il n’est plus le jeune talent en basquet du collège , ces amis l’abandonne et ce renferme sur lui-même. Sa devient triste et morose et comme il dis si bien lui-même il est « enterré dans un corps qui a cessé de fonctionner ». Ces seuls échappatoires sont son unique ami, le cinéma et la bande dessiné. Il est d’ailleurs un fan absolu de ce super-héros qui passe au cinéma au doux nom de « Superior » ; un genre de Superman.

Une nuit, un singe habillé en tenue de cosmonaute vient lui proposer d’exhausser un de ces rêves et l’enfant choisit de devenir « Superior ». Du jour au lendemain, le jeune Simon passe d’un enfant immobilisé à un adulte dotés de pouvoir surhumains. Mais rien n’est gratuit , et s’il veut garder ces pouvoirs il doit vendre son âme.

Édité chez Marvel/Icon sous forme de deux bd; scénarisé par Mark Millar (Kick-Ass) et illustré de manière réaliste et fort dynamique par Francis Leinil Yu ; on suit l’ascension et les questions qu’un enfant de 12 ans peu se poser et faire pour échapper à son quotidien et assouvir ces fantasmes.

On s’envole, on s’emporte, on respire en lisant cette histoire bien construite et qui donne envie d’accompagner le petit Simon vers le dénouement final.

Sa ce lis vite, un découpage très cinématographique, des dialogues bien construit et un dessin qui accompagne bien le scénario.

Silver Surfer de John Buscema et Stan Lee

novembre 27, 2012 Smith

Le Silver Surfer ou le Surfeur d'Argent en version française c'est une histoire épique de chez Marvel scénarisée par Stan Lee et dessinée par John Buscema et qui fue crée dans les années 60/début 70. Le volume lu est un intégrale de chez Marvel Gold (Panini) et qui donc regroupe la saga sous forme d'un gros pavé de 600 pages tout en couleur.

Pour résumé un peu l'histoire car vous vous en doutés il y a de la matière dans 600pages , c'est l'histoire d'un jeune astronome qui accepte de servir Galactus, une entité qui "dévore" des mondes pour survivre/vivre ... suite à un conflit d'intérêt, il se retrouve déchu de ces pouvoir et est envoyé sur la Terre.

Il arrive donc sur terre avec ces "pouvoir cosmique" et rencontre la race humaine ; sur ce il va se poser et poser beaucoup de questions existentielle sur l'homme, notre mode de vie, notre raison d'être, la violence de l'homme etc... le tout parsemé évidemment d'aventures histoire que cela reste un comics de divertissement tout de même ^^; Ce qui nous donne un gros livre qui nous emmène dans se monde fantastique.

J'avoue qu'après avoir fini la dernière pages j'avais toutes ces questions en tête :)
Il faut savoir aussi que même si à l'époque cette série n'a pas super fonctionné, elle est devenue depuis culte de par sa construction , la philosophie qui s'y cache, le graphisme (John Buscema à fait cela comme un dieu) et j'en passe.

N'étant pas un super fan de la culture comics US, celle-ci doit être au moins lue histoire de parfaire sa culture tde la bande dessinée :) ... et puis honnêtement , John Buscema dessine comme ... waw et les histoires sont très bien ficelées.

A chaque jour son blog

novembre 27, 2012 Smith
Afin de maximiser la visibilité de notre groupe qui est né sur le fameux Facebook et partager au maximum, un petit blog vient de voir le jour. Je serai totalement hypocrite de ne pas mentionner que cela n'est pas également du à la politique de Facebook qui veut rendre les posts payants et ceux qui ne sont pas d'accord de payer n'auront pas un référencement "optimale" ... bref si tu veux être vue, faut payer.

Quoiqu'il en soit, on est "in da place" prêt à bouger ; une page se tourne, une autre suit et on reste visible.

 A bientôt

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